[OE de Toul] : Dissolution de mariage : Cassandre et Palogar

Bonjour Ellebasi.

Laissant ensuite Cassandre répondre à la question qui leur avait été posée, il adressa un signe de tête.

Je n'ai pas grand chose à ajouter à ce qu'a dit Cassandre.

[Désolé je n'avais pas oublié mais j'ai eu pas mal de soucis ces derniers temps.
En tenant compte que c'est moi qui ai traîné, j'adapte "les peines" sans que vos personnages en soient lésés d'une quelconque manière.]

Dans l'entrefaite, Uriel avait déménagé en Provence, il ne pouvait donc plus être à deux lieux en même temps.
L'ubiquité était un des avantages de la Sainteté, cela dit ...

Bref.
On lui fit rapport que la situation n'avait pas évolué, et comme il l'avait promis, il allait clôturer.

Citation :

Dissolution de mariage
Cassandre_Louna et Palogar

A l'attention de l'Officialité Épiscopale de Trèves,

Nous, Cardinaux du Consistoire Pontifical Francophone, en vertu des pouvoirs qui lui sont conférés, annonçons l'accord du verdict proposé quant à la demande de dissolution de mariage de Cassandre_louna et Palogar.


Attendu que le droit canon dispose que :

Article 5 : La dissolution du sacrement du mariage est une extinction de ce dernier suite à la décision des époux de se séparer et de mettre fin à leur vie de couple.
Article 6 : Les motifs invoqués pour une dissolution du sacrement du mariage sont :
Article 6.1 : La disparition des sentiments amoureux entre les époux
Article 6.3 : L’abandon du domicile conjugal par l’un des deux époux pendant un temps supérieur à 3 mois. Le conjoint reconnu coupable de négligence conjugale est passible de l’impossibilité de remariage.
Article 7 : La dissolution du sacrement du mariage implique la levée des obligations matrimoniales entre les époux.

Attendu qu’en l’espèce, les époux ont souhaité mettre fin à leur vie commune.
Attendu qu'il a été constaté que d'une part, l'époux n'avait pas été très disponible pour réaffirmer sa volonté de maintenir cette relation, mais que d'autre part, l'épouse a déménagé dans un autre Comté, rendant ainsi cet éventuel rapprochement impossible, nous reprendrons le réquisitoire du procureur, émis en janvier 1461.
Attendu qu'il avait été précisé : "Si une dissolution venait à être prononcée à ce moment-là, la date de prise en compte de son dépôt serait celle de la requête de la première, soit le 10 janvier 1461."

La dissolution est donc effective en date de ce jour et les peines sont donc les suivantes : pour chacun des époux, une interdiction de mariage de 6 mois, soit jusqu'au 10 juillet 1461. A l'issue de cette période, ils pourront éventuellement se remarier après s'être confessés auprès de leur évêque respectif.



Fait à Rome le deuxième jour de mai de l'an de grâce 1461,
Au nom du Consistoire Pontifical francophone,
Son Éminence Uriel de Réaumont Kado'Ch, Cardinal National Électeur.